La sclérose en plaques (SEP) est une maladie imprévisible et souvent invalidante du système nerveux central (SNC) qui perturbe la transmission de l’information au niveau du système nerveux central, mais aussi entre le SNC et le corps. L’évolution, la sévérité et la spécificité des symptômes chez une personne atteinte de SEP ne peuvent pas encore être prédits. La plupart des personnes atteintes de SEP sont diagnostiquées entre 20 et 50 ans, avec au moins deux à trois fois plus de femme que d’hommes atteintes de la maladie.
La sclérose en plaques (SEP) implique un processus à médiation immunitaire dans lequel une réponse anormale du système immunitaire du corps est dirigée contre le système nerveux central (SNC). L’antigène exact ou cible qui active les cellules immunitaires à attaquer – reste inconnu, ce qui explique pourquoi de nombreux experts considèrent la sclérose en plaque comme maladie “à médiation immunitaire” plutôt que “auto-immune”.
Au niveau du SNC, le système immunitaire attaque la myéline – la substance grasse qui entoure et recouvre les fibres nerveuses.
La myéline endommagée forme le tissus cicatriciel (sclérose), qui donne son la maladie.
Lorsqu’une partie de la gaine de myéline ou de la fibre nerveuse est endommagée ou détruite, les impulsions nerveuses qui se dirigent vers et depuis le cerveau et la moelle épinière sont déformés ou interrompus, produisant ainsi une grande variété de symptômes.
On pense que la maladie se déclenche chez des individus génétiquement prédisposés en présence d’une combinaison d’un ou plusieurs facteurs environnementaux.
Les personnes atteintes de SEP développent généralement l’un des quatre types de la maladie, et peuvent avoir des symptômes légers, modérés ou graves. (syndrome cliniquement isolé (SCI), SEP récurrente-rémittente (SEP-RR), SEP primaire progressive (SEP-PP) et SEP secondaire progressive (SEP-SP).
Il n’existe aucun médicament connu pour soigner la sclérose en plaques. Les médicaments utilisés pour la traiter la SEP, bien qu’étant modérément efficaces, peuvent avoir des effets secondaires et être mal tolérés.
les patients qui ont pris de la carnosine ont subjectivement remarqué que les symptômes qu’ils avaient avant la prise de la carnosine avaient régressés.
Sachant que la SEP peut endommager les nerfs, muscles qui peuvent devenir faibles et inefficaces.
Les spasmes ou contractions musculaires, ou les mouvements involontaires soudains, également connus sous le nom de spasticité sont communs. On a remarqué que la carnosine augmentait la force et la contraction musculaire et diminuait les spasmes.
Par ailleurs le premier bénéfice que les patients observent après la prise de la carnosine porte sur les « brûlures dans les jambes ». Ces résultats pourraient s’expliquer par le fait que la carnosine intensifie la transmission du flux nerveux ou nettoie les produits métaboliques toxiques des cellules qui souffrent du stress oxydatif. Les patients ont également remarqué une diminution de la fatigue, des vertiges, troubles visuels. Il y a également des patients chez lesquels la SEP a été diagnostiquée plusieurs années auparavant, qui ont d’emblée commencé à prendre régulièrement de la carnosine.
LES PUTİLİSATEURS ONT RAPPORTÉ
*Une réduction de l’intensité et de fréquence, ou une disparition complète des crampes.
*Une forte augmentation de la force dans les muscles.
*Une amélioration de la vision
*Augmentation de la motricité fine (coordination des muscles de la main, des mouvements des poignets et de la main)
*Libido accrue
*Augmentation de la clarté d’élocution
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Laëtitia